L’œuvre est constituée de crin de chevaux, tressés, noués, assemblés sous la forme d’une rhizome infini de tresses qui se font, se défont, se rejoignent, se démultiplient, se croisent…
Ce travail d’orfèvrerie nous pousse à la contemplation, l’œil s’abandonne à suivre les méandres et les entrelacs de crin qui envahissent l’espace. Seulement, la réalité du matériau utilisé, reliques récupérées à des abattoirs, nous rappel à l’ambiguïté de ce que nous contemplons en réalité.