Itzhak Goldberg

Texte écrit pour l’exposition « peinture silencieuse », à la galerie Univer – Colette Colla

Itzhak Goldberg est Professeur émérite en Histoire de l’art à l’Université de Jean Monnet, St Etienne. Critique au Journal des Arts, il a été également commissaire de plusieurs expositions.
Qu’il s’agisse d’une architecture ravagée en Syrie ou d’animaux qu’on suppose morts, les images d’Emmanuelle Mason semblent étrangement se dérober au réel.
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expositions

Expositions Personnelles


 

à venir   Exposition à Matières, Auch.

2019      Lignes de vie, Galerie Artothèque, Gondrin.

      Lignes de vie, Galerie de l’Imagerie, Toulouse.

2013      Anima –  Musée Abbal, Carbonne.

     Anima, Musicophages, Toulouse.

2012     Le chant du Cygne, Brigade A4, Toulouse.

 

Expositions collectives principales


 

A venir     Exposition en Duo avec Lunat, au Silo, à Toulouse.

2021.        Beyond concrete Jungle, Commissariat Camille Prunet, Lieu-Commun, Toulouse.

Corps-Anticorps, Galerie L’imagerie, Jean-Philippe Escaffre, Toulouse.

Artcité, XXe édition, Fontenay-sous-bois.

Art Up Au fil de l’art – Carte blanche à la galerie Univer Colette Colla. Grand Palais Lille.

Fête de l’estampe, Manifestampe, Galerie L’imagerie, Jean-Philippe Escaffre, Toulouse.

2020      « Faire le Mur » Espace Saint Cyprien, Toulouse

2019      «Presque Rien», La Fabrique, Centre des arts contemporains, Festival Graphéïne, Toulouse

2018      « Peinture Silencieuse », galerie Univer, Colette Colla. Commissariat de Itzhak Goldberg, Paris.

2017      « 10 ans d’estampe contemporaine », la Main Gauche, Toulouse.

Salon DDessin, galerie CO2, Paris.

2016      8e zoom, Commissariat Christian Noorbergen, Galerie de l’arrivage,Troyes

2014      CRAC, Biennale des arts actuels, Champigny sur Marne.

The Animals, Galerie Art Corner, Nice.

L’étrange, Galerie Cirque des arts, Toulouse, France

MAC Paris, Paris. Présentée par Aralya (Lauréate du prix Festiv’Aralya)

2013       Estampadura,Triennale Européenne de l’Estampe Contemporaine, Toulouse

2013…    Power Tower : Paris<>Busan, Soul art space, Busan, Corée. Moving windows, MoCa, Busan, Corée.

Il sera une fois… IESA, Paris. Je t’aime, I love you, CAFA, Pékin, Chine. Objet commun, Ecole Centrale, Paris. La Beauté in Fabula, Palais des Papes, Avignon. Invitation de Jean-Luc Parant.

Festivals, évènements

 

Festival NOVELA – Déambulations, une œuvre d’art numérique produite pour le Festival Novela, exposé sur un écran géant à la Gare de Toulouse Matabiau. En collaboration avec la société Ekito
Festival Déviations
Festival NOVELA – 18m3 de dessin, œuvre numérique, Musée des Abattoirs de Toulouse. En collaboration avec la société Ekito.

Les arts en Balade, Toulouse.

Participation à la scénographie de la pièce «l’instable», par Nathalie Le Corre, Espace Pasolini, Valencienne.

Création de la scénographie Vidéo des spectacles Akapulko et Cloakroom, Compagnie D’Après.

Festival Videoformes, Clermont Ferrand.

Représentation en galerie


Galerie Univer, Colette Colla, Paris

Galerie L’imagerie, Toulouse

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Représentation en galerie :

Paris – Galerie Univer Colette Colas

Toulouse – Galerie l’Imagerie – Jean-Philippe Escaffre

Collectifs, réseaux alternatifs :

Artlinker

Fiber Art Fiber

Représentation sur le Web

Kazoart

Singulart

 

crédits photographiques : Emmanuelle Mason, Bénédicte Deramaux, Cyrille Mailhé, Boris Mélinand.

 

sur le web

Reportage Newsart today

-Galerie virtuelle sur le showroom Aralya (Lauréate 2014)

Coup de cœur MAC2013 Cimaise, Beaux-arts actuels

Interview de Emmanuelle Mason lors du festival Novela à Toulouse par les Jeunes Reporters d’Entreprise. Un projet FACE-Grand Toulouse, une réalisation www.jouvreloeil.com.

-Article sur Déamublations dans Buisness Review USA

-Article dans la Dépêche

– Catalogue du CRAC 2014

 

Yannick Lefeuvre

l’Angle d’un ange par Yannick Lefeuvre

Elle nous donne à voir des carcasses d’animaux morts, os et chairs en décomposition saisis dans leurs monstrations verticales désarticulées…

Par quelle magie arrive-t-elle sur le socle de ces visions insupportables à élever notre regard vers la vie ?

Sans doute, elle a l’œil, elle sait saisir de par sa pratique performante ce qu’il en est des subtilités des matières, des brisures et des lignes qui déclinent des frontières oubliées. Elle cherche, puise et s’aiguise à saisir l’ineffable. Un jour sans doute, en ces lieux terribles, elle a vu, elle a su et elle a fait en sorte de nous donner sa vision en partage. Nous convier à ce passage devait être nécessaire pour elle.

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Alexandra Samouiller

Emmanuelle Mason par Alexandra Samouiller

Mon crayon sur la feuille me convient mieux pour dessiner que pour aligner les mots de manière rigoureuse et efficace. Ainsi je vais tenter de parler de dessin, celui qui m’a touché dans ce salon Mac. Celui de l’artiste Emmanuelle Mason qui occupa le stand d’Aralya, H02.

Du crayon à la plume

En franchissant les portes du salon, à droite au fond de l’allée des formes sombres de part et d’autre des murs du stand, on imagine un travail graphique, de la peinture ou de la sculpture. Avant d’y parvenir, je me frêle un chemin parmi les visiteurs qui, comme moi, vont de stand en stand découvrir un nouveau monde à chaque fois. L’art se déploit sous de multiples formes ; de la peinture, de la sculpture,…

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Christian Noorbergen

Emmanuelle Mason par Christian Noorbergen,

critique d’art et professeur de philosophie.

 

Emmanuelle Mason ensemence le vide de ses sublimes talismans abandonnés. Sa création est fabuleusement inventive, crue, cruelle, et comme dessinée au scalpel. Ainsi surgissent, dans l’impensable et dans l’irrécupérable, d’inouïs dessins déliés, aigus, aventureux, sidérants, et débarrassé de tout décor. Saisissants squelettes d’entités broyées, qui n’habitent plus, à jamais, que la fragilité du papier. Petites îles séparées, inhabitables et désolées, d’une effrayante proximité. Une indicible finesse, d’une infinie souplesse, les a jetées au-dehors.

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Jérémy Liron

Emmanuelle Mason, Ouvrir le corps de l’image, par Jérémy Liron, artiste, critique et écrivain.

Sans doute existe-t-il une connivence –exploitons l’intuition – une sorte de relation profonde entre le dessin et ce que l’on pourrait appeler le corps ouvert. Quelque chose qui mène du tracé à la découpe, du trait à l’incise, de la silhouette à son ouverture. Quelque chose peut-être qui, dans ses lignes, lie son cerné, ses contours à son antre. Une dialectique à l’œuvre dans les anatomies et qui conjugue l’observation

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Céline Cadaureille

Emmanuelle Mason par Céline Cadaureille,

Artiste et Maître de Conférences en Arts Plastiques Université Jean Monnet, Saint Etienne

Dans le travail graphique d’Emmanuelle Mason, l’image se construit selon une succession de couches, une accumulation de traits créant des réseaux, des typographies vers lesquelles nous approchons pour mieux nous perdre. Au contact des détails et des traits, on reconnait une matière filandreuse, des vaisseaux mêlés et entortillés, des nœuds énervés. Une matière que l’artiste élabore patiemment pour venir nous évoquer la notion d’informe telle qu’elle fut formulée par Georges Bataille en 1929 dans la revue Documents.

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Démarche artistique

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Emmanuelle Mason – Artiste plasticienne

Née à Paris en 1976, vit et travaille à Toulouse

 

ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES

Après avoir suivi un cursus en communication visuelle et édition à l’école Estienne, j’intègre les ateliers de Barbara Leisgen et de Christian Boltanski aux Beaux-arts de Paris, et j’obtiens mon diplôme en 2003. Parallèlement, je valide une licence d’arts plastiques à l’université Saint-Charles puis une D.E.A. d’esthétique à l’université Paris 8. En 2006, je suis majore à l’agrégation d’arts plastiques et seconde au Capes, ce qui me permet d’obtenir un poste d’enseignante agrégée à l’université Jean Jaurès. En 2012, je créé l’atelier d’estampe et édition du département Arts plastiques, où j’effectue la majorité de mon service depuis.
Mon travail fait l’objet de nombreuses expositions monographiques ou collectives en France et à l’étranger, et mon travail a intégré plusieurs collections privées.
Mon exposition personnelle la plus récente, intitulée Ligne(s) de vie, a d’abord été montrée à la Galerie de l’Imagerie à Toulouse puis à l’Artothèque de Gondrin en 2019. Elle montrait 10 années de travail. Avant cela, je présentai l’exposition « Anima » successivement au Musée Abbal et à la galerie des Musicophages à Toulouse. Parallèlement, je participe à beaucoup d’expositions collectives en France et à l’étranger, mon parcours m’ayant menée notamment à exposer à la CAFA de Pékin, au Musée d’Art Moderne de Busan en Corée, au Palais des Papes lors de la grande exposition La Beauté in Fabula, (sous le commissariat de Jean de Loisy), à la Galerie Univer à Paris lors de l’exposition Peinture Silencieuse (sous le commissariat de Itzhak Goldberg), à Artcité où je gagne le prix de la critique (délivré par Christian Noorbergen), à Art up  Lille avec la Galerie Univer ou encore au centre d’Art Lieu commun lors de l’exposition Beyond Concret Jungle (sous le commissariat de Camille Prunet).

 

DÉMARCHE ARTISTIQUE

Mon travail, d’abord tourné vers le multimédia et l’installation, s’oriente maintenant vers le dessin et les arts graphiques tels que la gravure, la lithographie et la sérigraphie, techniques que je revisite à l’aune des questionnements contemporains et des pratiques d’installation. Mes recherches – sur l’anthropocène, l’animal, l’érotisme, la guerre, le corps, la mort, le désastre – ont pour point commun de montrer une extrême délicatesse, une « belle manière » que je déconstruis et qui piège le regard, alors que les sujets traités sont parfois irregardables ou même immondes, dans tous les cas engagés.  Je dessine Après la fin du monde.

La série des natures mortes, par exemple, fonctionne par l’entrelacs visuel d’un travail d’estampe numérique et de dessin à l’encre, ou de gravure à la pointe sèche. Avec mes outils, j’ouvre les corps de ces animaux, j’en inspecte la viande, pour en extraire la matière graphique, le paysage de chair. En dessinant, je rends sa peau, sa chair et son os à l’animal, je cherche l’Anima de la pointe de mon stylo devenu scalpel. C’est une orfèvrerie graphique faite au cadavre.

Un stratagème similaire est utilisé pour Syria, sous la forme d’un ensemble de 6 sérigraphies modulaires. Ce travail est issu de dessins que j’ai réalisés à partir des descriptions et des photographies que m’ont montrées des réfugiés Syriens auprès desquels j’étais engagée de 2014 à 2015. La série s’inscrit dans une filiation avec la peinture romantique, approchant peut-être, comme la série des Natures mortes, la question d’un sublime contemporain. C’est en regardant les peintures de Friedrich, de Turner ou de Géricault, mais aussi habitée par mon engagement humanitaire, que j’ai initié ce travail. À travers la figure de la ruine, j’ai pu poser sur le papier les témoignages des réfugiés. Dans ces compositions, le blanc du papier devient mon silence face à leurs récits, le terrain où erre le regard en quête de sens.

Ce travail de dentellerie graphique devient matériel avec la série Les Dentelles, puis, mon geste de dessin ou de gravure, mais surtout mon engagement, m’amènent à faire de plus en plus violence aux matériaux. Je m’approprie le dessin et la gravure hors format, hors support, hors médium : dessiner avec du crin de cheval, avec du fil crocheté, dessiner avec un pyrographe ou avec le soleil et une loupe, avec de la broderie, avec un scalpel, une localisation gps…

C’est le numérique qui me permet de m’affranchir totalement du support pour la réalisation de deux œuvres pour le Festival Novela à Toulouse. Grace à ma collaboration avec des ingénieurs, je réalise en 2011 un dessin de 18M3, accessible via des lunettes de réalité augmentée. L’année suivante, je propose au public de participer à un dessin collaboratif en temps réel, constitué par les déplacements des participants dans la ville communiqués par la localisation GPS de leurs smartphones. Ainsi, pendant 5 jours, un immense dessin collectif, permanent, et potentiellement infini se dessine sur un écran exposé à la gare Matabiau.

Forte de cette émancipation, je cherche alors de plus en plus à faire naître le sens par la mise à mal des processus et des outils, à associer mon travail de virtuosité graphique à la destruction physique du support ou du geste.
Pour la série Cut, je dessine avec un scalpel, le geste graphique passe sous le plan du papier, alors que pour la série Burn je brule celui-ci avec un pyrographe.

    Ces expériences m’amènent à radicaliser mon parti pris avec la série « eco-trash » Les Brûlages, où je dessine en brûlant mon support – le tissu de coton ou de soie – cette fois à l’aide d’une loupe et du soleil en plus du pyrographe. Les dessins évoquent des désastres actuels (des incendies ou des événements sociaux liés aux crises climatiques et humaines). Ils se veulent précis, documentaire, mais la technique crée des accidents qui font que la représentation m’échappe, que je perds le contrôle du corps de l’œuvre. Je viens ensuite longuement, inutilement, raccommoder le dessin en le brodant au fil de soie. Il y aurait, pour moi, un parallèle à faire entre cette activité vaine à laquelle je me livre et le flux continu de nos activités d’Hommes occupés alors que le monde brûle.

Cette série trouve ensuite une forme performative lors de l’été 2021 : chaque jour où la température se situait au-delà des normales saisonnières, je m’assoie au soleil, dessinant en brûlant le papier à l’aide d’une loupe, autant de temps que mon corps le permet, confrontant la résistance de la matière papier à mes propres limites physiques. Cette démarche me permet d’éprouver avec mon corps la planète qui bout et d’en enregistrer la trace.

On retrouve cet engagement physique pour ma pièce Topoïétique d’un centre d’art. Ce sont cette fois les techniques de la gravure qui sont déplacées de leurs fins, utilisées à même le mur. Munie de lunettes d’horloger et de burins de gravure, je suis partie en quête des traces, même infimes, que les expositions successives avaient pu laisser de leurs passages au sein du mur feuilleté par des dizaines de couches de peinture superposées. Petit à petit, ce long travail d’archéologie minuscule laisse apparaître une topographie, en surface et en profondeur du mur, imposée par les états historiques enregistrés dans les interstices invisibles.

À partir de 2021, je poursuis cette mise à mal des processus de la gravure, en travaillant cette fois la plaque de cuivre elle-même. Ainsi, mon atelier se transforme en laboratoire de chimie, et j’entreprends d’épuiser mes plaques de façon protocolaire. Pour la Grande oxydation, j’évoque la première grande crise écologique qui a eu lieu il y a 2,4 milliards d’années, lors de l’apparition des cyanobactéries sur terre. La pollution massive de l’atmosphère par l’oxygène exhalé par ces formes de vie l’a rendu propice à la vie telle que nous la connaissons, celle des plantes et des animaux, prouvant par-là que le monde n’est pas une condition préalable mais une action du vivant. La formation du vert de gris sur les plaques, successivement gravées, imprimées puis laissées aux quatre-vents ou soumises à l’action de chimie, me permettent de rendre tangible l’action de l’oxygène sur le monde, et d’évoquer le fait qu’il n’y a pas d’équilibre définitif et idéal dans la nature. Parallèlement à ce travail, je cherche à mettre au point un processus d’impression des plaques à partir de leur propre oxydation (Le Bois).

    Ce sont ces travaux d’expérimentation qui me mènent à ma pièce la plus récente, Xylogravure. Pour ce travail entre la gravure et la sculpture, j’ai travaillé à partir de chutes de scierie où des insectes xylophages ont tracé des réseaux de galerie. Il s’agit ici de m’affranchir de l’outil graveur au profit de l’engendrement de formes liées aux modes d’existence de l’insecte. Le maillage des réseaux créés par les insectes est révélé par le travail du Kintsugi (une technique ancestrale japonaise qui consiste à réparer un objet en soulignant ses lignes de failles avec de la poudre d’or), travaillé au cuivre et soumis à une oxydation aux quatre-vents, afin de rappeler comme dans le travail précédent l’action de l’oxygène sur le tissu du monde. Ce travail montre l’inter connectivité entre l’être et son hôte, l’adhérence entre le mode d’existence du xylophage et son milieu, son territoire. On remarque que la forme est ordonnée, témoin d’un programme, d’une politique, d’une agrologistique de l’insecte. Cette écologie des formes, est enregistrée par frottage dans le travail nommé Maillage, et évoque nos territoires urbains. À l’instar des insectes, nous procédons en allant de l’avant, sans jamais repenser notre propre logique. Une logistique virale, qui requiert ses engins à vapeur et l’industrie pour nourrir sa propre prolifération.

Actuellement, tout en poursuivant mes différentes séries, (notamment en intégrant des matériaux pauvres comme de la bâche bleue dans mes broderies), je développe différentes pistes à l’atelier. Parmi celles-ci, je poursuis mon travail sur le bois xylophagé, en collaborant avec un tourneur sur bois, et en mêlant un travail de xylogravure manuelle au travail des insectes. Par ailleurs, je cherche à développer un procédé afin de confectionner des plaques de gravure grâce à une imprimante 3D, tout en affinant le processus de destruction de mes plaques de cuivre et d’impression par oxydation. Je mets aussi au point une solution à base de cuivre et de chlorure d’ammonium afin de réaliser des aquarelles oxydées.


 

Formation


Grandes écoles

2003      Diplôme National Supérieur d’Arts Plastiques, ENSB-A, Paris.

1999       B.T.S. de communication visuelle. Ecole Estienne, Paris.

Université

2006       Agrégation (reçue 2e) et Capes (reçue 2e) d’arts plastique.

2004       DEA “arts des images & art contem porain” – université Paris VIII – mention très bien.

2001       Deug et Licence d’arts plastiques. Paris I – Saint Charles.

 

Prix, Bourses


Allocation d’installation d’Atelier, DRAC occitanie.

Lauréate Festival Aralya

Prix Artcité de la critique décerné par Christian Noorbergen.

Prix du Jury – Festival Aralya

Prix de la Fondation Varenne – Festival Vidéoformes
Presse, articles, publications

 

Portrait vidéo, Ligne(s) de vie, par Raphaël Laugier.

Emmanuelle Mason, par Christian Noorbergen, Aralya n° 24.

Dessin animal, par Benoït Ladune dans le n°59 de Miroir de l’art.

En vitrine, Emmanuelle Mason, Interview par la Brigade A4, dans le IF mag #7.

Episode de «news Art Today», Emmanuelle Mason.

Co-écriture de «En échange avec Jean-Luc Parant», avec Jean-Luc Parant et Michel Butor.


Résidences, voyages de recherche


Residence aux Beaux-arts de Pekin (CAFA)

Résidence au MoCa, Busan, Corée

 

Conférences, rencontres avec le public


Médiation autour de l’exposition «Lignes de Vie», à la Galerie de l’Imagerie.

Conférence «la gravure à l’épreuve de l’art contemporain», Les 10 ans de la main Gauche.

Rencontre autour de la gravure, Musicophages, médiation pendant l’exposition «Anima».

 

Collectifs d’artistes


Siléo

Jenifer Art

Formation continue


Formation au Burin, avec Maria Chillion

Formation à la gravure, atelier de la Main-Gauche, avec Bilitis Fareny

Formation à la serigraphie, atelier 54 fils au cm, avec Anne Izambert

Formation à la manière noire, avec Miguel Aldana

Formation de Moku Hanga, Myriam Zegler.

 

Compétences


Création et gestion d’ateliers (Atelier d’estampe de l’université Jean-Jaurès à Toulouse (gravure, sérigraphie, lithographie), atelier de Volume…
Gravure, sérigraphie, lithographie…
Dessin contemporain, dessin hors support ou hors format.
CAO, DAO, arts numériques, vidéo, son, photographie
Moulage, nouveaux matériaux
Installation et performance.
Pédagogie, enseignement, initiation à la Recherche en Arts.

 

Enseignement


2007…      Enseignante Agrégée à l’université de Toulouse II -Jean-Jaurès, Département arts plastiques.
2006         Professeur agrégée dans le secondaire (Paris XVIIe).